poésie d’avant : Immobile

ante 2019

la chaleur écrasante, étouffante
les sons saturé, douloureux
s’élèvent brutalement
Et disparaissent sans écho
le silence chaud
sec

immobile

peu à peu le vent se lève
envahissant l’espace sonore
emportant tout sur son passage
notamment le silence
ce bruit diffus et continu
Traverse les oreilles
menace les pensées
amène les nuages menaçants
les éclairs, la tempête
les pluies diluviennes

l’humidité s’insinue
pénètre les corps
jusque sous les vêtements
ce froid paralysant
ce froid ennuyant
il grime la vie de tristesse
lave les couleurs
d’un gris d’éternité
ce froid qui chasse le vent
dans d’autres régions
nous laissant le spleen
la neige et

le gel

Corrigé le 31/12/2019

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