Étiquette : poèsies

  • poésie d’avant : religion

    poésie d’avant : religion

    ante 2022

    Ce n’est pas la mort qui me fait peur,
    Je n’en démord pas, c’est la souffrance.
    Sorti de nul part j’y retournerai,
    Car ce qui a un début à une fin.
    il y a toujours un avant le début
    Et toujours un après la fin,
    mais nul n’en est revenu.
    Mais qui veut souffrir même juste un peu,
    sentir son corps, désagréable
    Qui souhaite la douleur ?
    je vois autour de moi les sacrifices
    ne pas céder à la douleur avec des artifices

    Nous sommes prêt à tout sacrifier pour ne pas avoir mal,
    Même, et voir, surtout le sort des autres.

  • poésie d’avant : futurs indécents

    poésie d’avant : futurs indécents

    ante 2022

    j’ai rêvé tant de vies oubliées,
    écrasées par des réalités stupides
    j’ai attrapé tant d’idée
    qui nous auraient rendu splendide
    des « nouvel an » et des rentrées
    ou tout était évident, limpide

    et combien de gueules de bois
    de réalités ordinaires
    de réel alités au fond de l’oubli
    évidement je ne serait pas roi
    je resterai au bord de la rivière
    à vous regarder dans vos panoplies

    de tout cela, je sais aujourd’hui
    que je n’en avais pas besoin
    je ne désirai que la tranquillité
    d’une famille

    ajout

    Une tranquilité qui explosera un jour.

  • poésie d’avant : écoute

    poésie d’avant : écoute

    ante 2019

    Écoute
    Écoute
    Écoute
    La voix sur la route
    Comme une tristesse
    Qui t’envoûte et tresse
    Une mélodie infinie
    La lune éclaire tes yeux
    Mais ce n’est qu’un jeu
    Comme une tristesse
    Qui t’envoûte et tresse
    Une mélodie infinie
    Les étoiles s’étalent
    Dans le firmament
    Et je t’entends quand
    Tu mens,
    Tu mens
    Tu mens
    Tu mens
    Mais je sais que tu sais que je sais
    Les étoiles brillent dans le ciel
    Et la lune s’amuse dans le noir
    Du reflet de ton ombre dans le soir
    Sèche tes larmes les mensonges
    Sont des rêves quand vient la nuit
    Mais je sais que tu sais qu’il sait
    Alors mets tes jolies chaussures
    Et ta belle robe, je t’assure
    Que nous allons danser,
    Que nous allons chanter
    Que nous allons boire
    Que nous allons boire
    Jusqu’au matin
    Le sommeil t’embrasse
    Et nous regarderons
    Le soleil en face
    Et nous nous brûlerons
    Déchirant les tyrans
    Éclatant les tympans
    Nous hurlerons de joie
    Face aux bourgeois
    La fesse à l’air