poésie d’avant : Ciel

ante 2019

Le vent souffle sur la ville
Les chevaux sont lâché
Cavalcade sulfureuse
Sèche cette larme
Tu as plus à gagner
Les rois tombent aussi
viens avec moi prenons les grands espaces
Dans la liesse et l’ivresse
Buvons les colères (qu’ils ont ?) fermentées
Et crachons sur leurs soumissions
Relève toi mon amour
Regarde le ciel c’est le tien
Arrache ces chaînes inutiles
Tendons nous la main

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