Catégorie : Textes

  • poésie d’avant : Hybride

    poésie d’avant : Hybride

    05/2025

    ils avancent à voile et à vapeur
    diffusant le soir venu le bonheur
    ils dansent sur la musique
    fier de leur physique
    vous perçant le cœur
    d’une banderille de couleur
    farandole de talons hauts
    perché ils font les beaux
    beautés fatales elles sont létales
    avec leurs battement de cils
    vous sentirez le souffle du péril
    oubliez vos croyances
    mettez les en vacances
    le plaisir n’a que faire
    de vos murs, de vos murmures
    de vos murs, de vos murmures
    de vos murs, de vos murmures

  • journal de la veille

    journal de la veille

    Nous étions le 25/05/25, je reste dans une période triste

    je ne me souviens de pas grand chose de la journée d’hier, si ce n’est que c’était la fête des mères et que ma mère c’est encore surpassée pour le repas. J’avais prévu d’aller courir mais je n’y suis pas allé, flemme.

    En fin d’après midi je suis allé faire un test d’enregistrement chez Arnaud … putain qu’il est bon, par contre moi c’est: ma voix, mon massacre. Et mes textes … je me sens nul mais pas complètement … je vais devoir bosser et bordel que je n’aime pas ça …

  • poésie d’avant : Clash bis

    poésie d’avant : Clash bis

    05/2025

    Amer tu me tues, sans armes
    Amer amour, tu mords encore la vie
    Amertume des deux dunes oubliées
    Tu craches ton cachet, et tu joues
    Cache cache tu tends la joue
    Ne fais pas la moue
    Je te fesse en rythme
    c’est l’heure de la messe impie
    Ces hymnes de batard marquent
    Marque ta joue de mes doigts
    Je déraille quand tu brailles
    Tu es sourd, je te fais l’amour
    Je te baise avec une alaise
    Je prend mes marques
    Je mets un doigt
    C’est la mesure qui rassure
    Ça coulisse, je remonte la mèche
    Toujours en style
    Ta peau lisse nous embarque
    Sur un bateau ivre
    La fleur du male nous enivre
    tango bravo, ça tangue,
    C’est l’heure de la bière.
    Le micro était dans le noir
    Je répète
    Le micro était dans le noir
    Titre
    Subtil
    Ce sont mes amis
    Mes faux amis
    Des détraqués sublimes,
    Qui jouent avec les couleurs
    Dans les couloirs obscures
    Feux d’artifices dans les fesses
    Ils se rossent à l’heure de la messe
    Embrasent et rasent avec envie
    Sur le parvis de notre dame des camées